Comme rat(ier) c'est rat(é)
Vous vous souvenez peut être de la fameuse histoire du caneton baveux... Si si, cette histoire >là<
Et bien, il a remis ça!
Reprenons l'histoire du début: Jour de pluie, mais Edison, comme tout bon chien de chasse, n'en a rien à faire de la pluie. Et donc il insiste pour faire sa balade, comme d'habitude!
Nous voilà donc partis au parc, avec les célébrissimes K-Way (oui, le machin tout chiffoné qui se range dans sa poche!^^). Arrivés au parc, nous lâchons Edison qui part jouer dans les flaques, pas de soucis particulier jusque là.
Mais voilà, nous arrivons à proximité de la mare. Tous les canards sont à l'eau, donc pas de soucis en vue. Mais nous, pauvres bipèdes, n'avons ni la vision acérée ni le super-odorat-qui-capte-les-machins-qui-puent-à-50m.
Edison part donc nez à terre et s'approche (dangereusement) de l'eau, je ne m'inquiète pas particulièrement, ce grand chien courageux à peur de se lancer à l'eau s'il n'a pas la papatte qui touche le fond, et la berge était plutôt abrupte à cet endroit.
Mais ce n'était pas les bêtes à plumes qui se trouvaient sur l'eau qui l'intéressaient. Bien sûr que non! Des animaux pleins de vie, qui ne veulent pas jouer, qui ne veulent pas se laisser manger... Très peu pour lui.
Mais par contre, un gros rongeur bien mort, ça peut faire l'affaire!
Il a donc été me débusquer un gros rat musqué mort et trempé... Vous ne voyez pas à quoi ressemble un rat musqué? Cliquez >ici<
Alors bien évidemment, il n'a pas traîné... Il l'a ramassé et à filé à distance raisonnable. Qu'est-ce qu'une distance raisonnable? Et bien c'est une distance suffisemment grande pour ne pas se faire rattraper par ses maîtres, mais suffisemment courte pour pouvoir les narguer! Petit pourri!
Il se tenait donc bien droit à 10m environ de nous, la grosse bête dans la gueule, et la queue de celle-ci flottant dans le vent! Bon appétit si vous passez à table
Pendant un peu plus de 10 minutes, il s'est donc amusé à partir en courant, à revenir doucement, puis à pousser un aboiement (enfin, on ne peut pas vraiment parlé d'aboiement puisqu'avec ce bidule dans le gueule le son était assez grotesque... Un espèce de "Bwourfff" parfaitement exaspérant), avant de repartir de plus belle en sens inverse.
Il aura finalement fallu le coincer dans un étroit bosquet pour l'empêcher de prendre la fuite et réussir à l'attraper par le collier.
Mais nous n'étions pas encore sortis d'affaire, parce qu'il fallait le faire lâcher prise. Et alors là, bonjour l'amusement! Malgré les ordres "Lâches!" lancés d'une voix menaçante tout en secouant le collier, rien à faire, il y tenait à cette proie. Enfin, "proie" n'est pas vraiment le terme adapté, je pencherais pour "gibier pré-mort à passer au micro-ondes".
Pour en venir à bout, nous avons du lui écarter les mâchoires (et il résistait en plus!), tout en extirpant le rongeur (et faute de gants, on a utilisé un emballage de mouchoirs en papier... Hum... Vous aussi vous entendez le générique de Mac Gyver?).
Et en plus il a l'audace de revenir à chaque fois sur la scène du crime, le nez à terre... Quand je pense que les connaisseurs de la race disent que les braques de weimar ont un système digestif fragile! Haha je m'esclaffe!
Et bien, il a remis ça!
Reprenons l'histoire du début: Jour de pluie, mais Edison, comme tout bon chien de chasse, n'en a rien à faire de la pluie. Et donc il insiste pour faire sa balade, comme d'habitude!
Nous voilà donc partis au parc, avec les célébrissimes K-Way (oui, le machin tout chiffoné qui se range dans sa poche!^^). Arrivés au parc, nous lâchons Edison qui part jouer dans les flaques, pas de soucis particulier jusque là.
Mais voilà, nous arrivons à proximité de la mare. Tous les canards sont à l'eau, donc pas de soucis en vue. Mais nous, pauvres bipèdes, n'avons ni la vision acérée ni le super-odorat-qui-capte-les-machins-qui-puent-à-50m.
Edison part donc nez à terre et s'approche (dangereusement) de l'eau, je ne m'inquiète pas particulièrement, ce grand chien courageux à peur de se lancer à l'eau s'il n'a pas la papatte qui touche le fond, et la berge était plutôt abrupte à cet endroit.
Mais ce n'était pas les bêtes à plumes qui se trouvaient sur l'eau qui l'intéressaient. Bien sûr que non! Des animaux pleins de vie, qui ne veulent pas jouer, qui ne veulent pas se laisser manger... Très peu pour lui.
Mais par contre, un gros rongeur bien mort, ça peut faire l'affaire!
Il a donc été me débusquer un gros rat musqué mort et trempé... Vous ne voyez pas à quoi ressemble un rat musqué? Cliquez >ici<
Alors bien évidemment, il n'a pas traîné... Il l'a ramassé et à filé à distance raisonnable. Qu'est-ce qu'une distance raisonnable? Et bien c'est une distance suffisemment grande pour ne pas se faire rattraper par ses maîtres, mais suffisemment courte pour pouvoir les narguer! Petit pourri!
Il se tenait donc bien droit à 10m environ de nous, la grosse bête dans la gueule, et la queue de celle-ci flottant dans le vent! Bon appétit si vous passez à table
Pendant un peu plus de 10 minutes, il s'est donc amusé à partir en courant, à revenir doucement, puis à pousser un aboiement (enfin, on ne peut pas vraiment parlé d'aboiement puisqu'avec ce bidule dans le gueule le son était assez grotesque... Un espèce de "Bwourfff" parfaitement exaspérant), avant de repartir de plus belle en sens inverse.
Il aura finalement fallu le coincer dans un étroit bosquet pour l'empêcher de prendre la fuite et réussir à l'attraper par le collier.
Mais nous n'étions pas encore sortis d'affaire, parce qu'il fallait le faire lâcher prise. Et alors là, bonjour l'amusement! Malgré les ordres "Lâches!" lancés d'une voix menaçante tout en secouant le collier, rien à faire, il y tenait à cette proie. Enfin, "proie" n'est pas vraiment le terme adapté, je pencherais pour "gibier pré-mort à passer au micro-ondes".
Pour en venir à bout, nous avons du lui écarter les mâchoires (et il résistait en plus!), tout en extirpant le rongeur (et faute de gants, on a utilisé un emballage de mouchoirs en papier... Hum... Vous aussi vous entendez le générique de Mac Gyver?).
Et en plus il a l'audace de revenir à chaque fois sur la scène du crime, le nez à terre... Quand je pense que les connaisseurs de la race disent que les braques de weimar ont un système digestif fragile! Haha je m'esclaffe!